L’organisation des toilettes au Paradis Bleu pose un véritable questionnement. Elles sont devenues un problème sanitaire à résoudre urgemment avec les plus de 400 personnes (élèves/enseignants/famille du PB) qui s’y côtoient journellement. Il aura fallu du temps pour prendre conscience de l’impact sanitaire des toilettes sauvages et donc de la nécessité absolue de les organiser et d’en faire une ressource. Grâce à l’évolution des consciences ce qui jusqu’à présent était considéré non seulement comme des « déchets humains» mais aussi comme une « matière interdite ou Fadi » (explication plus loin dans le texte), peut dorénavant être envisagé autrement.
En respectant les traditions locales, cette « production » très importante de matières organiques devient une richesse exploitable en terme d’énergie pour le Paradis Bleu. La suite en cliquant sur le lien suivant: